Le XVIII ème siècle porte en creux une véritable mutation de l’intellect humain qui passe par une évolution scientifique opérée par les découvertes de Galilée (1564-1642) et de Newton (1642-1727). À la différence de l’ancienne physique, issue des principes d’Aristote (384-322 av. JC), la nouvelle physique impose l’ordre rigoureux des mathématiques, auquel tout doit se plier : la nature est écrite en langage mathématique et la raison scientifique s’impose. Dorénavant, l’idée d’un univers sans limites se substitue à celle d’un monde clos, comme le défendait la tradition aristotélicienne, et l’homme n’est plus le centre du monde, ce qui signifie qu’il doit affronter l’infini.
Les hommes ont une idée confuse et obscure de Dieu qui les confine dans la crédulité, engendre intolérance et dogmatisme, et perpétue leur servitude à l’égard du monde et des autorités politiques.
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Sympathique petit (surtout trop bref!) ouvrage pour s’initier à la philosophie (dans ce cas, Spinoza), donc à lire en tant qu’étudiant. Ou pour provoquer une piqûre de rappel pour les plus anciens (on a cité mon nom ?)
Donc... Spinoza, c'est un philosophe néerlandais du XVIIème siècle dont la pensée appartient au courant des modernes rationalistes.
Avec « Spinoza » d’Aurélie Garon, je découvre une collection de fiches philosophiques qui pourraient se révéler utiles. Mais suis-je vraiment convaincue…?
JE RETIENS: Intéressant.
J'OUBLIE: Trop succinct.
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