« La vie, c’est comme un boite de chocolats… », le nom de la boutique de Margaux aurait aussi bien pu convenir au livre de Sophie Tal Men : « Qui ne se plante pas ne pousse jamais ».
Cette philosophie de vie va se distiller tout au long des pages, grâce à Jacqueline, la grand-mère de Margaux. Il ne lui reste que peu de temps pour faire croître les deux êtres qui lui sont les plus chers.
Ce roman plein de tendresse et de bon sens nous amène à prendre conscience des petits bonheurs qu’il faut saisir. La fantaisie, les défis, la remise en question, l’amour… ne sont pas en reste.
Pour nous faire « grandir » nous aussi, sans nul doute possible, comme l’aurait certainement voulu Jacqueline.
JE RETIENS: Rien que le titre en vaut la peine...
"Si ce n'était un proverbe, il faudrait l'inventer". (Proverbe arabe)
Je considère ce roman comme le meilleur de Sophie Tal Men.
J'OUBLIE: La déception ressentie en lisant d'autres livres de cette auteure après ce roman.