Charlock, « Le chat qui en savait trop » est assuré de sa suprématie sur l’humain et sur l’amour que lui porte son humaine jusqu’à l’intrusion d’un ennemi à deux pattes qui s’installe chez sa maitresse.
En plus de cette cohabitation difficile, Charlock doit gérer l’enquête autour de la disparition du canari Chiquiny, de la mise à la fourrière de Homère le chien et d’autres issues fatales concernant des animaux de son quartier.
Allan Poe, le corbeau ou Steinbeck le rat y seraient-ils pour quelque chose ?
Dans ce roman, on retrouve l’humour qui caractérise l’auteur Frédéric Lenormand, mais personnellement, je n’ai pas vraiment accroché à ce chat, disons, un peu schizophrène.
JE RETIENS: Le cynisme du chat Charlock.
J'OUBLIE: Bof!