« L’héritière de Rosewood », c’est
l’histoire de Virginia qui, suite au décès de ses parents et aux dettes qu’ils
lui ont léguées, se retrouve orpheline et désargentée. Armée de son courage et de sa beauté, elle va traverser l’océan pour chercher appui auprès de son oncle.
C’est sans compter sur l’ennemi juré de celui-ci, le séduisant Devlin O’Neill.
Brenda Joyce nous conte l’enlèvement et la séquestration de la naïve Virginia par ce froid corsaire irlandais. Mais ce ne serait pas un vrai livre Harlequin si ce véritable macho ne tombait amoureux de sa belle captive.
Une jolie histoire agrémentée de scènes torrides pour
les fantasmeurs/fantasmeuses ou les imbéciles convaincus de la supériorité (surtout sexuelle)
de l’homme.
L’héroïne montre quelques signes de rébellion mais elle se soumet complètement
à son ravisseur, amant et amoureux.
À prendre au second degré, ça pourrait presque être drôle…
JE RETIENS: Se méfier lorsqu'il s'agit d'un livre de la collection Harlequin. Pour en avoir lu plusieurs durant mon adolescence (un peu honteuse d'avouer que ma maman était fan de ce genre de littérature), je me rappelle que ce type de romans véhicule toute une série de clichés comme la jeune fille naïve et sans expérience, l'amoureux distant et insensible qui se révèle un tendre amant passionné... En l'écrivant comme tel, je me dis que cela pourrait correspondre également à "50 nuances de Grey", et que ce navet a connu un succès planétaire. Je ne comprends pas.
J'OUBLIE: Vraiment.
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