Paulette Olivier, célibataire, ouvrière qualifiée en maroquinerie, 48 ans, se retrouve licenciée du jour au lendemain pour raisons économiques, après 25 ans de travail dans la même usine.
La vie de Paulette part à vau l’eau : télé, grignotage… Et en plus, elle doit supporter les quolibets et les sous-entendus de la voisine du 1er, Ghislaine Pinchon.
Heureusement que Paulette a deux amies et un voisin sur qui elle peut compter.
Il est temps pour Paulette de se reprendre en mains, et elle va nous démontrer qu’elle a plus d’un tour dans son sac.
C’est le cas de le dire, et c’est aussi le titre de ce roman de Céline Theeuws « Dessine-moi un sac ».
Comme dans tous les ouvrages de cette auteure, on y retrouve des thèmes qui lui sont chers : perte de repères personnels suite à un problème professionnel, changement de vie, reconstruction identitaire… Sauf que cette fois, la mayonnaise n’a pas pris : éléments « trop » prévisibles, improbables, voire totalement irréalistes. Je n’ai pas non plus retrouvé la tendresse présente dans « Les douceurs d’Adrien », ni l’humour de « Ceci n’est pas une banane ».
Mais je n’en veux pas à Céline Theeuws, on peut ne pas être bon en tout ; je m’empresse d’ailleurs de télécharger un autre de ses romans !
JE RETIENS: Une auteure à découvrir: ton incisif, sujets sensibles, humour et délicatesse.
J'OUBLIE: Pas le meilleur roman de Céline Theeuws.