Cinq lettres, c’est « Cinq pas vers le
bonheur », c’est l’héritage laissé à Thomas par son père Martin, son papa
décédé dont la vie banale et l’esprit conformiste ont fait fuir Thomas du
domicile familial.
Grâce à ces lettres, Thomas va découvrir ce père, l’amour que celui-ci lui
vouait.
Thomas va enfin comprendre qu’ils sont plus proches qu’il ne le pensait.
Théo Lemattre nous dresse la quête identitaire de Thomas, à la recherche de ses
origines et de ses aspirations. Un roman dit « feel-good », à
condition que le lecteur tombe dans le piège de croire au papa simple
fonctionnaire qui, en fait, est un ancien de la légion et vit sous une fausse
identité… Croire au fidèle ami de famille sans histoire qui a pris une
balle pour sauver le paternel et qui de plus, a été marié à un homme…
Et que dire de la transformation aussi fulgurante qu’invraisemblable de
Thomas ?
JE RETIENS: bof, bof, bof...
J'OUBLIE: Cette histoire n'est vraiment pas crédible: le mec paresseux, insensible, révolté, fêtard... qui devient en quelques semaines le fils idéal, le frère attentionné, l'amoureux sensible, le bosseur acharné au travail...