Quelle douce replongée en enfance avec la lecture de ce célèbre et fantastique conte de Lewis Caroll, « Alice au Pays des Merveilles ».
J’ai adoré glisser avec elle dans cet univers onirique où tout paysage, tout personnage, tout propos se déforme, se modifie, perd ou prend du sens…
Alice se retrouve malgré elle dans un monde qui n’est pas le sien, elle est curieuse et cherche à comprendre ce qui est (il)logique.
Bien sûr, c’est ultra connu, et je regrette que le dessin animé de Walt Disney, bien que très fidèle, brouille ma vision de l’histoire. J’ai découvert dans ma version numérique des illustrations originales beaucoup plus poétiques et délicieusement rétro, évoquant plus judicieusement ce (dés)équilibre entre rêve, cauchemar et réalité.
J’y ai appris également que le texte a de nombreuses références à la langue anglaise, les expressions, la culture de l’auteur, ce qui me fait regretter de ne pas maîtriser cette langue et prendre ainsi mieux conscience du génie de Lewis Caroll.
JE RETIENS: Outre l'histoire d'Alice, je me suis prise d'affection pour le chat du Cheshire (chat de fiction tigré, qui apparaît dans le roman "Alice au pays des merveilles" et dont le nom est un hommage de Lewis Carroll au comté de Cheshire dans lequel il est né. Il est parfois appelé chat de Chester, d'après l'ancien nom du comté.)
To grin as a Cheshire cat : avoir un sourire fendu jusqu’aux oreilles comme un chat du Cheshire.
J'OUBLIE: Je ne peux m'empêcher de penser que Lewis Caroll devait peut-être s'adonner à certaines substances illicites (?)
Le saviez-vous?
Lewis Caroll était non seulement romancier, mais aussi professeur de mathématiques.
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